Depuis le 17 mars et jusqu’au 25, à l’appel des métallos FO, les salariés d’Amcor Flexibles, à Selestat (Bas-Rhin), ont lancé une grève illimitée. La raison de la mobilisation ? Les propositions inacceptables de la direction dans le cadre des NAO.
Depuis le 17 mars et jusqu’au 25, à l’appel des métallos FO, les salariés d’Amcor Flexibles, à Selestat (Bas-Rhin), ont lancé une grève illimitée. La raison de la mobilisation ? Les propositions inacceptables de la direction dans le cadre des NAO.
Après l’appel de l’intersyndicale et de la Fédération FO de la métallurgie du 11 mars, la mobilisation contre le projet de réforme des retraites ce 15 mars doit être plus massive que jamais.
Nouvelle journée de manifestation contre la réforme des retraites et nouveau succès en termes de mobilisation : les Français sont encore plus nombreux que lors des journées précédentes à exprimer leur refus d’un projet injuste et injustifié.
Le 16 février, FO Métaux participera aux différentes actions interprofessionnelles contre la réforme des retraites. Nous appelons aussi tous les métallos à signer la pétition en ligne contre ce projet injuste et brutal.
Ce 7 février, près de deux millions de Français ont défilé contre le projet de réforme des retraites du gouvernement à l’appel de FO et de l’intersyndicale. Loin de s’essouffler, le mouvement s’ancre à présent dans la durée et ne laisse au gouvernement qu’une porte de sortie : le retrait de son projet.
Ce 31 janvier, la deuxième journée de mobilisation interprofessionnelle contre la réforme des retraites a de nouveau été un succès, réunissant encore plus de manifestants que la première fois. Avec près de 2,8 millions de Français défilant à partir de 240 points de rassemblements, il s’agit d’un des plus grands mouvements sociaux dans notre pays depuis plusieurs décennies.
Face aux propositions salariales insuffisantes de Schneider, notre organisation appelle les salariés à se mobiliser pour défendre leur pouvoir d'achat.
Quoi de neuf dans le monde de l’automobile ? C’est à cette question que répondra chaque mois la Lettre du secteur auto que lance aujourd’hui FO Métaux. Décisions nationales ou européennes concernant l’automobile, réunions et travaux de dimensions nationales de notre secteur, propositions ou revendications : c’est un nouveau regard sur l’activité de notre Fédération dans ce secteur qui sera proposé mensuellement avec La lettre du secteur auto, dont le premier numéro est publié ce jour. Disponible sur notre site internet, cette newsletter auto sera également accessible via smartphone et sur les réseaux sociaux pour une plus large diffusion. Besoin d’infos sur l’auto ? Demandez à FO !
Depuis le 13 octobre, les salariés du motoriste aéronautique Safran, à l’appel de FO et de l’intersyndicale, effectuent toutes les semaines un débrayage d’une heure très suivi pour ramener la direction à la table des négociations. Sujet des discussions : la question salariale. Pour notre organisation, le compte n’y est pas.
Au terme d’une semaine de grève, les salariés de Photonis ont contraint leur direction à la négociation et ont obtenu d’importantes avancées sur la question du pouvoir d’achat, à l’origine de leur mouvement. Photonis, basé à Brive la Gaillarde (Corrèze), est le leader mondial des tubes de vision nocturne qui équipent les jumelles et les chars des armées, il fabrique également des composants nucléaires qui servent à la sécurité des centrales nucléaires, aux sous-marins nucléaires, et des galettes de micronaux.
A l’appel de notre organisation, les salariés de Clemessy Services, filiale d’Eiffage, se sont mis en grève le 18 octobre pour protester contre des mesures salariales insuffisantes face à l’envolée des prix, encore plus injustes alors que le groupe réalise d’excellents résultats.
Depuis le 4 octobre, les salariés de Trane, sur les sites de Golbey et Charmes (Vosges) mènent un mouvement de grève tournante avec le soutien de notre organisation. La raison de leur mécontentement ? Des salaires qui ne suivent plus l’inflation et une direction bien décidée à ne rien lâcher.
Après une manifestation de la dernière chance devant Bercy le 23 septembre pour obtenir l’intervention des pouvoirs publics, les salariés de SCOPELEC ont sévèrement déchanté. Ce 26 septembre, le tribunal de commerce de Lyon a placé la coopérative en redressement judiciaire avec un plan de cession à la clé. Ce pourrait être la triste fin d’un long combat.
Un an après la fin du redressement judiciaire, les salariés de Manoir Industries, dans l’Eure, ne ménagent pas leur peine pour remettre l’entreprise à flots. Mais pour obtenir la juste rétribution de leurs efforts, ils ont dû déclencher une grève en ce mois de septembre.
Ce vendredi 23 septembre, des salariés de SCOPELEC venus de toute la France à l’appel de notre organisation se sont retrouvés pour manifester devant le ministère de l’Economie. Lâché par son donneur d’ordre à quelques jours d’une décision judiciaire cruciale pour son avenir, ce sous-traitant d’Orange se bat pour sa survie.
Face à la flambée de l’inflation depuis le début de l’année, nombreux sont les salariés à constater que les rémunérations ne suivent pas et à exprimer leur colère. C’est ce qui se passe actuellement chez Atlantique Automatisme Incendie (AAI), sur l’ensemble du territoire, où ils se sont lancés dans un mouvement de grève à l’appel de notre organisation.
Voilà près de deux semaines que les métallos de SASA manifestent leur colère face à une direction qui a décidé de faire table rase du dialogue social dans l’entreprise et de dénoncer l’ensemble des accords salariaux, menaçant d’amputer sévèrement le pouvoir d’achat des salariés. A ce jour, la mobilisation ne faiblit pas.
Le 13 mai, après trois jours de grève total, les métallos FO du sous-traitant d’Airbus, spécialisés dans les essais au sol et l’inspection qualité, ont obtenu gain de cause sur leurs revendications. Au-delà de la question salariale, c’est aussi le manque de dialogue social qui a pesé lourd dans le déclenchement du conflit.
Ce 17 mai, à l’appel de notre organisation, les métallos de Galva Atlantique, spécialiste de la transformation des métaux situé à La Rochelle, ont entamé un mouvement de grève. Une journée aura suffi pour obtenir satisfaction de leurs revendications. Le feu couvait depuis plusieurs mois, et c’est une prime qui, par son montant dérisoire, a cristallisé la colère des salariés.
L’épreuve de force, les métallos savent y aller lorsque nécessaire. Mais rien ne pouvait préparer ceux de l’équipementier automobile, dans le Doubs, à celle qu’ils ont vécu en ce mois d’avril, et où la violence de la direction a surpris tout le monde.