Pourquoi un si faible taux de syndicalisation en France? Répondre à cette question et inverser la tendance est l'autant plus crucial pour notre organisation que les salariés n'ont jamais eu autant besoin d'être défendus. C'est également primordial pour parvenir à relever un den qui se pose au syndicalisme: celui du développement
Près de 900 participants se sont retrouvés à Amiens du 19 au 21 juin pour le congrès FO Métaux. De ces trois journées de débats et d’échanges sont sortis la feuille de route de notre organisation pour les quatre prochaines années et un bureau fédéral à la tête duquel Valentin Rodriguez sera le nouveau secrétaire général de la Fédération FO de la métallurgie.
Aujourd'hui, consécutivement à notre 24 ème congrès fédéral, une page se tourne. Ce premier éditorial rend un hommage sincère et appuyé à un homme dont la dévotion et le leadership ont marqué notre Fédération : notre précédent secrétaire général, Frédéric Homez
Les 19, 20 et 21 juin 2024 se tiendra notre XXIV ème Congrès Fédéral dans ma région de cœur et dans un beau département cher à FO dont la capitale s’est illustrée à travers la charte d’Amiens qui marque notre attachement viscéral à l’indépendance syndicale.
Derrière les prouesses de l’IA, des craintes se font jour : impact sur l’emploi, concentration des capitaux, empreinte écologique et conséquences plus larges sur la société. FO Métaux se penche sur les enjeux d’une révolution annoncée.
Si le sujet n’est que rarement médiatisé, la question de la mort au travail reste, pour les salariés et le milieu syndical, une réalité quotidienne sur laquelle la réflflexion et l’action demeurent au premier plan. Alors que le phénomène prend des proportions toujours plus inquiétantes, FO Métaux en analyse les causes et propose des solutions.
Pour la Fédération FO de la métallurgie, la défense de l’industrie est un combat syndical du quotidien qu’il convient de ne jamais relâcher. Nous veillons au grain car les politiques, au prétexte et au nom de l’environnement, proposent parfois, et en catimini, des projets de loi qui peuvent, si nous ne réagissons pas rapidement, anéantir une partie de nos secteurs industriels en poussant sans y réfléchir les industriels à délocaliser et à détruire les emplois sur notre territoire.
Quelle(s) technologie(s) pour le coeoeur des voitures de demain ? La question agite les industriels du secteur et au-delà. Le groupe de travail automobile (GTA) fédéral a planché sur la question et vient de mettre en ligne ses travaux sur ce nouveau chapitre annoncé de l’histoire automobile, dont l’écriture ne fait que commencer.
Depuis plusieurs années, les différents gouvernements essaient de remettre en cause le paritarisme pourtant porteur de garanties pour les salariés, les retraités, les chômeurs, et source de paix sociale.
Au regard d’un grand nombre d’accords salariaux, FO Métaux, dans le cadre de la défense du pouvoir d’achat des salariés, reste le syndicat de la fiche de paie, et ce quel que soit le niveau des négociations, à savoir : le niveau national pour les salaires minimaux de la branche de la métallurgie et de nos branches rattachées, le niveau territorial pour la prime d’ancienneté de la métallurgie et le niveau des entreprises pour les salaires réels.
Les métallos FO du groupe Safran se sont retrouvés à Berck (Pas-de-Calais) les 6 et 7 février pour leur séminaire annuel. Réunis autour de leurs coordinateurs, des secrétaires généraux de la Confédération FO Frédéric Souillot et de la Fédération FO de la métallurgie Frédéric Homez, et des secrétaires fédéraux Valentin Rodriguez et Gérard Ciannarella, ils se sont penchés sur la situation de l’équipementier aéronautique.
L’atome a repris une place de premier plan et voit sa capacité à produire une énergie décarbonée reconnue. Pour autant, d’ici à la mise en service d’un nouveau parc nucléaire français, la fifilière va devoir relever de nombreux défifis. FO Métaux fait le point sur les forces et les faiblesses d’un secteur qui emploie des milliers de métallos.
Dans la foulée des négociations des branches et de la grille des salaires minima conventionnels pour les salariés de la métallurgie applicable, pour rappel, au 1er janvier 2024, avec des montants annuels et son premier niveau (à savoir la lettre A et classe d’emploi 1), supérieur au Smic de 497 euros (la lettre A1 : 21 700 euros et le Smic annuel 2024 : 21 203), notre Fédération, dans le cadre de son attachement à la pratique contractuelle et conventionnelle, négocie également dans ses branches rattachées l’augmentation du pouvoir d’achat pour les salariés.
L’année 2023 a été des plus mouvementées et chargées pour notre organisation, et a beaucoup mobilisé les métallos FO. Notre Fédération a montré une détermination sans faille pour être à la hauteur de ses missions et des attentes des salariés qu’elle défend
Nous profitons de ce début d’année pour vous présenter à toutes et à tous nos meilleurs vœux de santé et de bonheur, en espérant que vous avez passé de très bonnes fêtes de fin d’année entre famille et amis en mettant entre parenthèses, pendant ces moments festifs, les soucis du quotidien.
En passe de parvenir au premier rang des risques psycho-sociaux, la surcharge informationnelle. Mal connu et difficile à repérer, induisant à la fois de nouveaux risques et enjeux, ce fléau frappe durement les ingénieurs et cadres, et demande de repenser le rapport global à l’information et aux outils numériques.
A quelques semaines du déploiement de la nouvelle convention collective nationale de la métallurgie (CCNM), qui entrera en vigueur au 1 er janvier prochain, nous pouvons être fiers du travail accompli.
Près de 160 métallos FO se sont retrouvés le 17 octobre pour la Journée des USM autour de l’équipe fédérale. Ils ont pu découvrir la feuille de route des USM, s’informer sur les dernières évolutions concernant la convention collective nationale de la métallurgie et prendre part à de riches débats lors des tables rondes et présentations de ce grand rendez-vous annuel