- Date de signature : 7 février 2022
Cet accord précise les droits et les obligations des employeurs et des salariés en matière de santé et de sécurité au travail dans le secteur de la métallurgie.
Cet accord précise les droits et les obligations des employeurs et des salariés en matière de santé et de sécurité au travail dans le secteur de la métallurgie.
Les partenaires sociaux de la branche de la métallurgie se sont réunis le I cr décembre 2020 pour partager une analyse de la situation économique et sociale, en vue de leur permettre de négocier, pour 2021, la réévaluation du barème des appointements minimaux des ingénieurs et cadres prévus par l'article 23 de la convention collective nationale des ingénieurs et cadres de la métallurgie.
ACCORD NATIONAL DU 22 JANVIER 2021 SUR LE BARÈME DES APPOINTEMENTS MINIMAUX GARANTIS DES INGÉNIEURS ET CADRES À PARTIR DE L'ANNÉE 2021
Accord du 30 juillet 2O2O relatif à l'activité réduite pour le maintien en emploi dans la métallurgie Dans un contexte particulièrement grave de crise sanitaire consécutive à la pandémie de la Covid-L9, les partenaires sociaux, au niveau de la branche et des entreprises, ont su prendre leurs responsabilités, pour conclure des accords et signer des protocoles de reprise. Dans la période, le dialogue social de branche s'est intensifié pour aboutir le 18 mai 2O2O à la signature, par l'UlMM, la CFE-CGC Métallurgie, la FGMM-CFDT et FO Métaux du < Monifeste de propositions pour préserver l'emploi et construire l'industrie de demoin >.
Accord n° 01-2020 du 7 avril 2020 relatif aux mesures d’urgence « Covid-19 » en matière de congés et absences payés
Dans le contexte d’état d’urgence sanitaire et de crise exceptionnelle liée à la prolifération du Covid-19 Coronavirus, les partenaires sociaux ont souhaité rappeler aux employeurs et aux salariés, relevant de la branche des cabinets et entreprises d’expertise automobile (IDCC 1951), l’importance de la préservation et la protection de la santé des travailleurs et du respect des mesures sanitaires préconisées par les autorités publiques. Ils ont, pour cela, adopté une délibération le 27 mars 2020, communiqué à l’ensemble des acteurs de la branche.
Placés au cœur d’un marché globalisé, concurrentiel et en évolution perpétuelle, les entreprises industrielles et leurs salariés doivent, en permanence, à la fois, maintenir leur niveau de compétences et de qualification, et innover sans cesse pour répondre aux nouveaux défis démographiques liés au renouvellement générationnel à venir, aux défis technologiques, environnementaux, de recherche et de développement, d’investissement, ou encore d’adaptation aux mutations des métiers induites notamment par la cobotisation, la robotisation, et l’industrie 4.0.
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 10 MAI 2019 SUR LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC-ARRCO
AVENANT N° 2 DU 4 DECEMBRE 2018 À L’ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 17 NOVEMBRE 2017 qui désigne les institutions compétentes pour la retraite complémentaire.
AVENANT N° 3 DU 31 MAI 2018 À LA CONVENTION DU 26 JANVIER 2015 RELATIVE AU CONTRAT DE SÉCURISATION PROFESSIONNELLE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 FÉVRIER 2018 POUR L’ACCOMPAGNEMENT DES ÉVOLUTIONS PROFESSIONNELLES, L’INVESTISSEMENT DANS LES COMPÉTENCES ET LE DÉVELOPPEMENT DE L’ALTERNANCE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 FÉVRIER 2018 RELATIF À LA RÉFORME DE L’ASSURANCE CHÔMAGE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 23 OCTOBRE 2017 PORTANT SUR L’ABONDEMENT COMPLÉMENTAIRE AU COMPTE PERSONNEL DE FORMATION PRÉVU PAR LA CONVENTION DU 14 AVRIL 2017 RELATIVE À L’ASSURANCE CHÔMAGE
CONVENTION DU 14 AVRIL 2017 RELATIVE À L’ASSURANCE CHÔMAGE
PROTOCOLE D’ACCORD DU 28 MARS 2017 RELATIF À L’ASSURANCE CHÔMAGE
Placés au cœur d’un marché globalisé et concurrentiel, les entreprises industrielles et leurs salariés doivent en permanence, à la fois, maintenir leur niveau de compétences et de qualifications, et innover sans cesse pour répondre aux défis de demain, qu’ils soient démographiques, technologiques, environnementaux, de recherche et de développement, d’innovation, d’investissement, ou encore d’adaptation aux mutations des métiers induites notamment par la robotisation et le numérique.
Les signataires du présent accord national considèrent que les principes de mixité, d’égalité professionnelle et de rémunération entre les femmes et les hommes constituent des gages de performance pour les entreprises qui permettent de contribuer à la réalisation de cet objectif.
Les signataires du présent accord national considèrent que les principes de mixité, d’égalité professionnelle et de rémunération entre les femmes et les hommes constituent des gages de performance pour les entreprises qui permettent de contribuer à la réalisation de cet objectif.
Les organisations signataires considèrent que le dialogue social dans son ensemble et plus particulièrement la voie conventionnelle sont les moyens les mieux adaptés pour parvenir à concilier les intérêts des salariés et le progrès social avec les contraintes économiques et techniques s’imposant aux entreprises dans une économie ouverte sur le monde, confrontée en permanence à des mutations rapides.